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 و الله كل شئ على قصة la boite a merveilles

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مُساهمةموضوع: و الله كل شئ على قصة la boite a merveilles   و الله كل شئ على قصة la boite a merveilles I_icon_minitimeالأربعاء نوفمبر 18, 2009 6:23 pm

Introduction :

L'autobiographie :

L'autobiographie est le récit rétrospectif (= qui concerne ce qui est passé) en prose de sa propre existence, sous ses aspects les plus intimes (=propres). Dans l'autobiographie, la relation entre l'auteur et son public s'établit dans le respect d'une triple règle :

auteur, narrateur et personnage sont associés ;

l'auteur s'engage à dire la vérité ;

le lecteur est constitué en juge du récit (l'auteur se justifie de ses fautes passées).

L'auteur /narrateur/ personnage principal marque une synthèse de son expérience. Il embrasse l'ensemble de sa vie individuelle, recompose l'histoire de sa personnalité. Le narrateur considère rétrospectivement son expérience passée, sur laquelle il jette un regard neutre, ému ou ironique selon le cas.



L'autobiographie
La forme
Le thème
L'auteur

Un récit

en prose
L'auteur parle de lui

même et de sa vie
Il y a fusion entre l'auteur narrateur -personnage.

L'auteur :

celui qui écrit le livre.

Le narrateur :

celui qui raconte l'histoire.

Le personnage :

Protagoniste (= acteur) dans l'histoire.

Auteur= narrateur=personnage.




Module 1



Etudier les caractéristiques du roman autobiographique

Ahmed SEFRIOUI, la boite à Merveilles, 1954



Les personnages principaux de l'œuvre :

Je :

C'est l'auteur-narrateur-personnage. Il est le fils de lalla Zoubida et de Sidi Abdeslem. Il s'appelle Sidi Mohamed.âgé de six ans, il se sent seul bien qu'il aille au M'sid. Il a un penchant pour le rêve. C'est un fassi d'origine montagnarde qui aime beaucoup sa boite à Merveilles, contenant des objets mêlés. Il souffre de fréquentes diarrhées



La boite à merveille :

Le véritable ami du narrateur. Elle contenait des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des clous à tête dorée, des encriers vides, des boutons décorés, des boutons sans décor, un cabochon (= bouchon en verre ou en cristal de forme arrondie) de verre à facettes offert par Rahma et une chaînette de cuivre rongée de vert-de-gris offerte par Lalla Zoubida et volée par le chat de Zineb

Lalla Zoubida :

la mère du narrateur. Une femme qui prétend être la descendante du prophète et s'en vante (s'en flatte). Elle croit aux superstitions. Ses yeux reflètent une âme d'enfant ; elle a un teint d'ivoire, une bouche généreuse et un nez court. Elle n'est pas coquette. Agée de vingt-deux ans, elle se comporte comme une femme vieille.

Sidi Abdeslem :

le père du narrateur, homme d'origine montagnarde. Il s'installe à Fès avec sa famille après avoir quitté son village natal situé à une cinquante de kilomètre de la ville. Il exerce le métier de tisserand (= fabriquant des tissus ) Grâce à ce métier, il vit à l'aise. Homme fort et de haute taille. Un homme barbu que le fils trouve beau. Il a la quarantaine.

La chouaffa :

Voyante, c'est la principale locataire de Dar Chouaffa et on l'appelle tante kanza.

Dris El Aouad :

C'est un fabriquant de charrues. Il est époux de Rahma. Il a une fille âgée de sept ans qui s'appelle Zineb.

Fatma Bziouya :

Elle partage avec la famille du narrateur le deuxième étage, son mari Allal est jardinier.

Abdelleh :

Il est épicier. Le narrateur lui attribue toutes les histoires merveilleuses qu'il a eu l'occasion d'entendre.

Le fqih du Msid :

Maître de l'école coranique. Il somnole pendant que les écoliers récitent les versets du Coran. Il distribue des coups de baguette au hasard.

Un grand maigre à barbe noire, dont les yeux lançaient des flammes de colère et qui habitait rue Jiaf.

Lalla Aicha :

Une ancienne voisine de lalla Zoubida, c'est une Chérifa qui a su rester digne malgré les déception du sort et dont la connaissance flattait l'orgueil de lalla Zoubida.

Driss le teigneux :

Fidèle serviteur de Sidi Abdessalem, il garnissait (= remplissait) les canettes et faisait les commissions.

Résumé général de l'œuvre :

L'auteur-narrateur personnage raconte son enfance alors qu'il avait six ans. Par un va et vient entre le point de vue de l'auteur-narrateur adulte et de l'auteur-narrateur enfant , le lecteur entre dans le monde solitaire du narrateur qui malgré quelques timides amitiés ne semble compter comme véritable ami que la boite à merveilles. En faisant le bilan de son enfance, l'auteur raconte ses journées au Msid auprès du fqih et de ses condisciples (=collègues), la maison de Dar Chouafa et les habitudes de ses habitants ainsi que le souvenir de fierté de sa mère concernant ses origines et son habitude à passer du rire aux larmes en plus de son art de conter les événements d'une façon qui passionnait son auditoire. De part son genre, le récit reste un véritable témoignage du vécu de ses personnages par la fréquence des noms de quartier qui constituent une véritable cartographie géographique. La figure calme du père est mise à rude épreuve dans le marché des bijoux quand il vient aux mains avec le courtier avant d'acheter les bracelets or et argent à sa femme.

Cet incident précède l'annonce de la perte du capital dans le souk des haïks ce qui fait basculer le niveau de vie de la famille dans la pauvreté. Après avoir assuré le quotidien de sa famille, le père part aux environs de Fès pour travailler comme moissonneur. Après un mois d'absence, il rentre chez lui pour apprendre le divorce de Moulay Larbi avec sa seconde épouse, la fille du coiffeur, ce qui lui permet d'exprimer son soulagement quant à ce dénouement.



Schéma narratif :



Etat initial :

L'auteur-narrateur personnage vit avec ses parents. Rien ne perturbe sa vie heureuse. Cette phase occupe une place importante dans le récit (Ch. I jusqu'au Ch. VIII). L'ampleur de cette étape traduit la félicité dans laquelle baigne le petit enfant. D'ailleurs, il est plongé dans un monde merveilleux.

Elément perturbateur :

Ce qui trouble cette félicité c'est la ruine du père qui a perdu son capital : l'argent qu'il portait sur lui est tombé quelque part dans un souk.

Péripéties :

Le voyage du père à la campagne, où il exerce un travail pénible afin de pouvoir amasser de l'argent nécessaire pour se rétablir dans son atelier. (Ch. VIII, IX, X, XI). Le congé accordé au petit qui ne va pas à l'école coranique à cause de sa faiblesse. La tristesse de la mère qui se rend aux mausolées et consulte les voyants.

Dénouement :

Le retour du père.

Situation initiale :

Le retour de l'équilibre : le bonheur. La réouverture par le petit de sa boite à Merveilles.



Œuvre et analyse :





Chapitre I



Résumé :

Le narrateur maintenant adulte, se souvient de son enfance. Il habite avec sa famille Dar Chouafa, au fond d'une impasse. La maison porte ce nom parce que une voyante y habite. Il se lève de bonne heure pour aller au M'sid, situé à la porte de Derb Noualla et dont le fqih est un grand maigre, barbu et coléreux. L'enfant se sent seul. Il a un penchant pour le rêve et imagination ; aussi sa tête est-elle peuplée d'histoires fabuleuses.

Le narrateur redoute d'aller au bain maure qu'il considère comme l'enfer. Il aime courir dans le Derb, et surtout vider sa Boite à Merveilles. Le lendemain, la mère raconte les disputes qui ont lieu dans le bain maure.

Cette femme soutient devant les voisines que les siens sont d'origine nobles et qu'ils sont les descendants du prophète. Une fois, au cours d'une dispute avec Rahma, elle profère à l'encontre de sa voisine des invectives violentes.



Événement :

Le narrateur adulte fait état de la solitude qui semble être son lot quotidien depuis l'âge de six ans. Remontant à son enfance, il décrit les différentes locataires de Dar Chouafa, le fqih du Msid et relate sa répulsion pour le bain maure. Malgré ses timides amitiés avec les bambins de l'école coranique, les véritable amis du narrateur étaient des personnages imaginaires et les objets de sa Boite à Merveille. Revenant sur le talent de comédienne de sa mère, le narrateur rapporte comment elle puisait dans le bain maure des sujets d'inépuisables anecdotes qu'elle racontait chez elle et aux voisines. Ce talent lui assurait un grand succès et incommodait le narrateur enfant surtout quand la tendance à la dramatisation se traduisait par une dispute de pallier.



Lieux :

Dar Chouafa, le Msid à la porte de Derb Nouala, la rue Jiaf où habitait le fqih



Personnages :

Je= auteur-narrateur-personnage.

La Chouffa, Driss El Aouad, sa femme Rahma et leur fille Zineb.

Fatma Bziouya et la famille de l'auteur.

Abdellah, l'épicier. Lalla Fatoum : la caissière du bain maure.



résumé chaiptre II
Œuvre et analyse :



Chapitre II

Temps :

- Le mardi (« jour du Msid ») ; le mercredi matin.

Résumé :

Le narrateur redoute le mardi car il doit, comme tous les écoliers du M'sid, réciter les chapitres de Coran appris depuis l'entrée à l'école. Ce mardi, de retour à la maison, Lalla Aicha, une ancienne voisine de la famille, conseille à la mère qui se sent malade de se rendre au sanctuaire de Ali Boughaleb pour conjurer (= écarter en priant) le mauvais œil qui a frappé son fils, en lui faisant boire l'eau miraculeuse de ce lieu saint. Arrivés au mausolée, les deux femmes se mettent à supplier en épluchant leur série de plaintes et de problèmes, devant le catafalque du saint. Pendant que la proposée au tombeau fait des prières à la faveur des deux femmes, un chat donne un coup de griffe au narrateur, le lendemain, le garçon, blessé, ne va pas au M'sid ; cela rend heureux. En se réveillant, après le départ de son père, l'enfant entend les salutations et les souhaits d'usage entre les voisines (le cérémonial matinal). Le narrateur se régale avec deux beignets que la voisine Fatma lui apporte.

Après, Driss le teigneux, apprenti du père, vient pour faire les commissions du ménage. Mais ce qui réjouit le narrateur c'est le petit éléphant en verre (un gros cabochon) que lui offre Rahma. Il décide de le ranger dans sa boite à merveilles.

Événement :

Après une rude journée au M'sid, le narrateur rentre chez-lui. Il trouve sa mère souffrante d'une terrible migraine. Après un déjeuner improvisé (= fait sans préparation et sur-le-champ) , Lalla Aicha vient rendre visite à son amie. Elle réussit à la convaincre qu'une visite à Ali Boughaleb était indispensable pour sa guérison ainsi que celle de Sidi Mohamed. Seulement, après les péripéties du voyage pendant lequel il fallait se garder des ânes et ne pas se frotter aux murs sales, le narrateur se fait griffer par un matou dans la cour de la Zaouïa ce qui précipita le retour à la maison. Bénéficiant d'un congé à cause de sa fatigue, le narrateur assiste au cérémonial ( = ensemble de rites de courtoisie, et d'amabilité ) des matinées, reçoit deux beignets de Fatma et un cabochon de verre à facette de Rahma.

Lieux :

Msid, Ali Boughaleb, le cimetière aux abords de Ali Boughaleb.

Personnages :

Le fqih, Lalla Aicha, lalla Zoubida, le chat du mausolée, les moineaux, Allal, Sidi Mohamed, Driss le teigneux, un vieil ouvrier.


résumé chaiptre III
Œuvre et analyse :



Chapitre III

Temps

-Le vendredi après-midi

-Le lendemain

-Le soir

-Le jeudi suivant



Résumé :

Après deux jours et demi de repos de convalescence, le narrateur va au M'sid, le vendredi dans l'après-midi. La fin des cours est un moment de délivrance et de soulagement pour lui. De retours à la maison, le garçon est ébloui par une lampe à pétrole dans la chambre de Fatma Bziouya. Après le dîner, la mère demande à son époux d'acheter une lampe pareille. Le jour suivant. Il l'apporte.

Un événement imprévu se produit : Zineb disparaît lorsqu'elle accompagne sa mère à un baptême. Toutes les femmes du quartier viennent réconforter sa mère. Elles se mettent à pleurer et à se lamenter sur leurs misères. Mais cette disparition réjouit le narrateur qui n'aime pas la fillette. La mère de ce dernier se dirige en compagnie de Fatma Bziuoya vers Moulay Idriss pour le prier de venir en aide à la famille de la disparue. Les deux femmes la retrouvent dans un asile.

Le jeudi suivant, Rahma organise un repas pour les pauvres, en guise de remerciements à Dieu. Le père de Kanza fait venir une horde (=groupe) de mendiants. Après le départ des chemineaux, Rahma invite les voisines et leur sert des mets délicieux. Le narrateur mange avec Zineb. Le soir, le garçon est triste. Il vide alors sa Boite à Merveilles et se met à rêver.



Événement :

L'auteur-narrateur- personnage raconte sa journée au Msid et son retour à la maison. Sa mère alluma alors une grande bougie alors que la chambre de Fatma Bziouya brillait d'un éclat inaccoutumé. Quand Lalla Zoubida sut que sa voisine s'éclairait avec la lampe à pétrole, elle s'arrangea(= se mettre d'accord) pendant le dîner pour avancer que tous les gens « bien » utilisaient la lampe à pétrole et finit par l'avoir le lendemain. Elle eut alors l'occasion de soulager son cœur en pleurant le malheur de Rahma qui a égaré sa fille Zineb. Ayant enfin retrouvé sa fille, Rahma organisa un repas pour les pauvres.



Lieux :

Msid, dar Chouafa, quartier Kalklyine, Mechattine, Seffarine, et ouadine. Rsif, Moulay driss, la maison des aveugle, rue Riad jeha.



Personnages :

Le fquih, La Chouafa, Allal :le fournier marié à Khadija, Allal : le jardinier, deux crieurs publics

Rahma et la mère de narrateur, Driss El Aouad, les mendiants, la Boite à Merveilles et ses objets.



résumé chaiptre IV
Œuvre et analyse :



Chapitre IV

Personnages secondaires :

Driss le teigneux : fidèle serviteur de Sidi Abdeslem, ils garnissait les canettes et faisait les commissions.

Moulay Larbi Alaoui : c'est le mari de lalla Aicha. Il est babouchier. Il s'est disputé avec son associé abdelkader. Ce dernier non content de ne pas restituer quatre-vingts rials prêtés par Moulay Larbi, prétend avoir versé la moitié du capital de l'affaire de Moulay Larbi. En tranchant dans ce litige, les experts se sont prononcés en faveur de Abdelkader

Abdenbi : Une mauvaise langue qui affirme avoir vu Abdallah entrer dans un vulgaire fondouk.

Lahbib : Il raconte avoir vu disparaître Abdellah dans une Zaouïa.

Résumé :

Dans les premiers jours du printemps, le narrateur et sa mère vont rendre visite à lalla Aicha, amie de celle-ci. Les deux femmes passent leur temps à débiner (= critiquer une personne de façon malveillante ) les gens. Mohamed joue avec les enfants des voisins en inventant des scènes de ménage et de mariage. Les jeux se terminent dans la dispute. Le retour de son mari Moulay Larbi, plonge Lalla Aicha dans la consternation (= stupéfaction, abattement dû à l'annonce d'un événement malheureux soudain ) : elle parle d'un pacha. Soudain, elle se met à pleurer ; et la mère la console. A la tombée de la nuit, le père vient chercher le narrateur et sa mère. Le jour suivant, le vendredi, la mère révèle au père la cause du chagrin de Lalla Aicha : son mari s'est disputé avec son associé. Malgré ses plaintes, la victime n'a pu faire justice ; pire encore, c'est l'arnaqueur Abdelkader qui a obtenu gain de cause.

Le narrateur est surtout occupé par sa Boite à Merveilles qui lui permet de se soustraire (= retirer quelqu'un d'un milieu, le faire échapper à une influence ) aux anxiétés de la vie. Mais il y a aussi les récits de l'épicier Abdallah. Par une soirée d'hiver, le père raconte à sa femme l'histoire d'Abdelleh et de ses récits. L'épicier, qui est un homme énigmatique, a peu de clients mais beaucoup d'amis. Il a aussi des ennemis qui cherchent à lui nuire. Il suscite tantôt l'antipathie des uns, tantôt la sympathie des autres. Une fois deux hommes, Abdenbi et Lahbib, se dispute car le premier calomnie (= atteindre dans la réputation par de fausses accusations ) l'épicier alors que le second soutient qu'il est un saint.

Événement :

Les premiers jours du printemps, le narrateur et sa mère furent invités chez Lalla Aicha qui habitait l'impasse de zankat Hajjama. Bien que modeste, la maison de lalla Aicha offrait une atmosphère d'aisance et de quiétude. Epiée (= surveiller attentivement et secrètement ) par ses voisines, lalla Aicha les flatta à haute voix et chuchota à l'oreille de son invitée sa véritable pensée. Alors que Sidi Mohamed jouait avec les enfants de la maison, sa mère et lalla Aicha parlaient de Rahma. Moulay Larbi rentra inopinément (= inopiné : qui arrive de façon imprévue ) et entretint brièvement sa femme. Lalla Aicha raconta à son amie les malheurs de son mari. Le lendemain vendredi, la mère du narrateur raconta les problèmes de Moulay Larbi avec son associé Abdelkader. Sidi Mohamed, réfugié dans son imagination, revit le récit de son père sur Abdellah l'épicier

Informations :

Les deux femmes pleurent à cause de ce que vient de révéler Moulay larbi à sa femme.

Lieux :zankat hajjama où habit lalla aicha



Personnages :

Lalla Aicha, la mère de narrateur et Sidi Mohamed, Driss le teigneux, les voisines de Lalla Aicha, les enfants de la maison voisine, les femmes de Dar Chouafa, leurs maris, Moulay Larbi, le père du narrateur, Abdelkader, Abdellah : l'épicier, Si Abdenbi, Lahbib
Chapitre V

Personnages secondaires :

Temps :

« Ce mercredi » (approche de l'Achoura)

Résumé :

Ce mercredi, le maître d'école est heureux et gentil avec les écoliers. La raison de son bonheur est l'événement de L'Achoura, occasion pour la réfection de l'école. Les enfants sont libérés pour le reste de la journée. Le narrateur exulte. Cette joie est modifiée par l'absence de la mère, qui est partie avec lalla Aicha.

Lorsque la mère est de retour, elle chuchote aux voisines l'histoire de son amie. Moulay Larbi, ruiné par le procès rendu en faveur de son ennemi, sa femme vend tous les bijoux et meubles qu'elle possède pour que celui-ci puisse s'installer dans un nouvel atelier. Au moment où la mère achève la relation de son récit, un hurlement déchirant s'élève. Une vielle esclave informe les femmes que Sidi Mohamed ben Tahar, un coiffeur de son état, vient de mourir.

La mère va présenter ses condoléances à la femme du défunt. Le narrateur l'accompagne pleureuses et de l'épouse endeuillée. Lorsqu'il revient chez lui, le narrateur songe à la mort et à l'enterrement. Pour le consoler, le père lui raconte une histoire afin de lui faire comprendre que certains morts sont accompagnés d'anges au paradis.

L'enfant sombre pourtant dans une tristesse profonde ; il pense qu'il va mourir et se met à imaginer son propre cortège funèbre. Il s'endort en faisant des rêves. En se réveillant le matin, il est dispensé d'aller à l'école coranique et il est gratifié d'un beignet. Laissé de suivre ses activités journalières des femmes, il s'occupe à réciter le Coran avec ardeur. Il arrête sa psalmodie et sort sur le palier lorsque sa mère lui offre une chaînette de cuire. Mais le chat amaigri de Zineb lui vole la chaîne qu'il a nettoyée avec une grande application et s'enfuit. Croyant que c'est la fillette qui l'a chargé de la lui voler. Il se précipite alors sur elle ; et une violente dispute éclate les deux ennemis.

Événement :

Un mercredi, le fqih particulièrement clément, expliqua ses projets pour la fête d'Achoura. Rentré chez lui, le narrateur trouva sa mère absente en visite chez lalla Aicha. De retour, sa mère raconta les malheurs de son amie d'abord à Fatma puis à Rahma en faisant promettre à chacune le secret. Des cris et des hurlements annoncèrent la mort de Sidi Mohamed Ben Taher. Imaginante cortège du défunt, l'auteur se souvient de l'histoire racontée par son père concernant Sidi...qui tenait boutique dans un Souk très fréquenté.

Informations :

Mort d'un voisin : sidi Mohamed Ben Tahar

Cauchemars et délire

Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

La boite à merveilles se transforme en cercueil (délire)

L'alchimie : la chaînette.

Lieux :

La maison mitoyenne à Dar Chouaffa, la maison du narrateur.

Personnages :

Le fqih, Fatma Bziouya, Lalla Aicha, la mère de narrateur, Sidi Mohamed ben Taher le coiffeur, une négresse, le narrateur, les pleureuses, Zineb, les récitateurs, Driss le teigneux, Rahma


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résumé chaiptre VI
Chapitre VI



Personnages secondaires :

Lalla khadija : femme de l'oncle Othman, un vieil homme. Elle est beaucoup plus jeune que lui. Jeune et charmante.

M'barka : vielle esclave de l'oncle Othman

L'oncle Othman : un homme qui a hérité d'une grosse fortune qu'il a dilapidée dans sa jeunesse. Après plusieurs mariages, il convole en secondes noces avec Lalla Khadija qui a su le conquérir.

Temps :

Le lendemain et le surlendemain

Le matin du troisième jour



Résumé :

Huit jours avant la fête de l'Achoura, le Msid est nettoyé et enduit à la chaux par les écoliers. Seuls les plus grands sont admis à cette tache ; cela déçoit le narrateur, Mais le jour suivant, il est nommé chef de l'équipe qui doit nettoyer le sol. Le soir il revient à la maison fatiguée mais se vante devant ses parents de ses exploits.

Le matin, sa mère le retient d'aller à l'école coranique : elle compte l'emmener avec elle pour lui acheter les vêtements de le fête. Il en saute de joie et se met à jouer au chevalier redresseur de torts.

Après une courte réprimande, sa mère l'emmène avec elle. La chouafa demande à la mère de lui apporter de tissu. Chemin faisant, la mère rencontre une voisine de lalla Aicha. Elle rapporte que l'homme ruiné s'est remis sur ses pieds.

Les éclats des tissus et exposés dans les boutiques de kissaria ravissent le narrateur. La mère achète une cotonnade blanche, un gilet pour le narrateur ; puis une satinette pour la Chouafa. En rentrant, le garçon fait des grimaces à Zineb ; alors sa mère le bat, il éclate en sanglots. Abandonné dans un coin, il rêve de devenir prince galant et puissant. Mais pour ne pas déplaire davantage à sa mère, il mangea à contrecoeur la viande aux navets. Au cour de déjeuner, ils entendent chanter lalla Khadija, l'épouse du vieux Sidi Othman et sorti de bonne heure pour aller faire des commissions à la jouteya. Il y a une foule de clients devant la boutique du boucher. Impatient, le vieil homme jette des boutades désobligeantes au boucher. Ace moment Si Othman donne un coup de pieds à un chien qui s'approche de lui ; la bête s'empare de babouche qui a saute et s'enfuit. L'homme poursuit le chien qui récupère son bien. De retour devant la boutique, il trouve le boucher et les marchands de légume plongés dans le sommeil. Il revient chez lui sans provisions, et offre à sa femme une rose pour la calmer. Cette dernière le maltraite.



Événement :

Les préparatifs allèrent bon train au Msid pour la fête de l'Achoura. Le fqih distribua les travaux et forma les équipes. L'auteur fut nommé chef des frotteurs et il se vanta devant ses parents de ses multiples exploits. Le matin suivant, il accompagna sa mère à la Kissaria où elle lui acheta un gilet cerise abondamment orné. Lalla Zoubida fit encore des courses pour Kanza et lui rapporta les quelques coudées de satinettes noires. De retour chez lui, sidi Mohammed se disputa avec Zineb ce qui mit fort colère sa mère. Le cœur gros, l'auteur tourmenté par la faim, rêva au jour où prince reconnu et aimé, il offrirait des repas somptueux aux mendiants. Entre-temps, on entendit lalla Khadija chanter et Rahma raconta l'histoire du couple de Khadija, la jeune épouse avec son vieux mari l'oncle Othman

Informations :

Nettoyage du Msid en deux jour (fierté du narrateur nommé « chef des frotteurs »

Le deuxième jour : achat d'habits neufs



Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

Féerie : le prince de légende



Récit enchâssé :

Rahma raconte l'histoire de lalla Khadija avec son vieux mari (l'art de raconter)



Lieux :

Le Msid, la Kissaria, Jouteya, pont de bin lemdoun

Personnages :

Le narrateur et ses condisciples,le fqih, la mère du narrateur, le père du narrateur, Moulay larbi, Fatma Bziouya, Zineb, Lalla Khadija la femme de l'oncle Othman, la vieille M'barka, Salem.



résumé chaiptre VII
Chapitre VII

Personnages secondaires :

Hammossa : le condisciple du narrateur au Msid et surnommé ainsi parce qu'il est le plus petit de taille. Son vrai nom est Azzouz Berrada

Oncle Hammad : un client de Sidi Abderhaman qui souffre de plusieurs maux et auquel le coiffeur recommande une recette qu'il prétend très efficace.

Si Abederhaman : le coiffeur du père du narrateur et le père de la deuxième épouse de Moulay Larbi le babouchier.

Temps :

« Deux jours avant l'Achoura »

Le lendemain matin

Trois heures du matin

Résumé :

Les préparatifs de l'Achoura commencent. Les femmes s'achètent des tambourins et des bendirs, deux jours avant la Achoura. Le père achète au narrateur une trompette. Il ne tarde pas à faire résonner l'instrument quand l'écolier Hammousa, envoyé par le fqih, vient le chercher : on a besoin de lui pour l'équipement des lustres. Les écoliers s'activent à la besogne comme des fourmis. Ils terminent le travail avant le coucher du soleil et retournent chez eux.

L'enfant trouve sa mère ennuyée car le pétrole de la lampe s'est épuisé. Elle prie Driss El Aouad de lui en apporter. Cette nuit, le garçon dort bercé par son bonheur : son père lui fait part de son intention de l'emmener avec lui demain au souk pour qu'il choisisse ses jouets.

Le matin, après le repas, le père et son fils partent vers le souk. Ils achètent des jouets, un cierge avant de se rendre chez le coiffeur. Le narrateur n'aime pas cette personne diabolique qui le circoncirait un jour. Il y a des clients qui viennent demander au barbier des remèdes pour leurs maladies. Après de longs discussions et la saignée d'un client, le coiffeur rase la tête du narrateur et la lui blesse.

De retour à la maison, le garçon mange vite afin de pouvoir jouer avec Zineb et d'autres enfants jusqu'au coucher du soleil. Après un bain douloureux, il mange et s'endort.

A Trois heures du matin, sa mère le tire d'un sommeil doux, il s'habille des vêtements neufs et se dirige vers le Msid et se chausse de ses babouches neuves. Dans la rue, le père lui donne cinq francs et un cierge pour le fqih. Dans le Msid éclairé, les écoliers psalmodient de Coran avec ferveur : aujourd'hui, ils fêtent la Achoura. A cette occasion, le fqih accorde à ses disciples trois jours de vacances.

Après le déjeuner à la cour duquel il s'est régalé de gâteaux, le père emmène avec lui le narrateur au sanctuaire Moulay Idriss pour accomplir des prières. L'enfant passe l'après-midi à écouter les récits sans tête ni queue de Lalla aicha qui rend visite à sa mère. Elle dit que les affaires de son mari prospèrent. Au moment où la visiteuse veut lui confier un secret, la mère envoie son fils jouer sur le terrasse. Le soir, la femme part.

Événement :

La vielle de l'Achoura, les femmes s'achètent des bendirs et des tambours. Le père du narrateur lui offrit une trompette et sidi Mohamed participa au Msid à l'équipement des lustres pour la nuit de l'Achoura. Rentré chez lui, sidi Mohamed apporta un brin de menthe à Kanza qui le récompensa par une poignée de grains de sésame. Le père du narrateur lui fit part de son intention de l'emmener le lendemain chez le coiffeur. Une fois chez ce dernier, Si Abderrhman bavarda sans discontinuer avec oncle Hammad du mariage de Sidi Ahmeh avec la fille de Si Omar le notaire. Sidi Mohamed se trouva mal et son père s'empressa de le faire sortir de la boutique. Rentré chez lui, l'auteur joua et prit un bain.

Le jour de l'achoura, le narrateur mit ses vêtements neufs et apporta cinq francs et un cierge au Msid. Ce dernier avait une allure féerique. Une fois chez lui, le narrateur mangea un repas de fête et c'est alors que lalla Aicha dit à la famille une visite surprise.

Informations :

Liesse; Préparatifs; Coupe de cheveux; Douche nocturne; Habillage;Rites : psalmodies au Msid;Visite de Lalla aicha



Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

Transfiguration au Msid (« congrégation de seigneurs de légende)

Plus besoin de rêverie en ce jour de fête.

Récit enchâssé :

Plusieurs histoires imbriquées (prolixité du coiffeur) ; lalla Aicha la situation de son mari s'est améliorée (elle révèle des secrets à son amie). ; (considérations sur sa façon d'accoler les événements)



Lieux :

Le Msid, la maison du narrateur, bab Moulay Idriss, Chémaine la rue bab Moulay Idriss, le quartier Sagha, Moulay Idriss, la place des notaires.

Personnages :

Les femmes de la maison, Zineb, le narrateur, le fqih, les condisciples du narrateur, Hammossa, Driss El Aouad, Lalla Kanza, Si Abderrhaman, le coiffeur, oncle Hammad, le père du narrateur, Moulay Larbi Alaoui, Sidi Ahmed, la fille de Si Omar, Lalla Aicha.



résumé chaiptre VIII
Chapitre VIII



Temps :

« Après les jours liesse... »; « La chaleur »; Un lundi ; Le lendemain matin

Résumé :

Les insectes envahissent la maison, à cause de la chaleur, les écoliers n'étudient plus dans le Msid ; ils déménagent dans un petit sanctuaire abritant la tombe d'un saint situé non loin. Alignés derrière le fqih, ils font leurs prières dans ce lieu. La bienveillance inhabituelle du maître et le changement de décor ont un effet avantageux sur le narrateur. Le père est fier de ces progrès. Mais l'enfant ne désire pas devenir un savant ; il apprend studieusement uniquement pour faire plaisir à ses parents. Au cours de la récitation, son imagination erre ailleurs.

Un lundi, le père annonce son intention de se convertir dans la fabrication des haïks à la place des djallabas. Le déjeuner fini, l'enfant est préoccupé par la comparaison des bijoux aux fleurs, comparaison qui fait rire ses parents. Il plonge dans une réflexion sur les fleurs et les bijoux. Pendant ce temps sa mère échange des propos avec Fatma Bziouya. Après la prière de l'Aassr, le père emmène sa femme, Fatma Bziouya et son fils au souk dans le but d'acheter des bijoux à sa femme. Le père se dispute avec un courtier de bijoux. Ayant perdu les traces du père, le narrateur, sa mère et la voisine rentrent à la maison. Lalla Zoubida et son fils pleurent en attendant le retour de Si Abdeslam.



A la tombée de la nuit, le père revient apportant les bracelets. La mère, les considérant comme un signe de mauvais augure (= défavorable, mauvais signe), les reçoit à contrecoeur. Cette nuit, le narrateur fait un cauchemar. Lorsqu'il se réveille le matin, le père le dispense d'aller au Msid. Il garde le lit toute la journée. Lalla Aicha vient leur rendre visite. Après que la mère a abandonné la mésaventure du souk. La visiteuse l'informe que son mari l'a abandonnée et épousé la fille du coiffeur Abderrahman. Soudain le narrateur se sent mal et s'endort.



Evénement :

Avec l'arrivée de la chaleur, les mouches firent leur apparition dans la maison du narrateur où la mère les chassait à grands coups de torchon. Le Msid fut déménagé dans un petit sanctuaire ce qui améliora l'aptitude d' apprendre de Sidi Mohamed. Un lundi, le père du narrateur annonça son intention d'emmener sa femme et son fils au souk de bijoux pour acheter à sa femme des bracelets soleil et lune. Accompagnée de fatma Bziouya, la famille du narrateur arriva au souk des bijouteries. Le père du narrateur qui voulait corriger le courtier malhonnête, se disputa avec lui et disparut dans la foule des badauds. Sa famille rentra en pleurs pour attendre la fin des événements. A son retour, le père apporta les bracelets dont sa femme n'en voulait plus arguant qu'ils vont attirer le malheur sur son foyer. Après ces malheurs, Lalla Zoubida reçut la visite de Lalla Aicha, lui raconta les démêlés avec le Dellal et compatit aux malheurs de son amie. Sidi Mohamed, rendu malade par tout ce tragique, en devint véritablement malade.

Informations :

Dépit du narrateur en raison du rire de ses parents d'une de ses réflexions ; querelle du père dont on a perdu la trace juste après, avec un courtier ; douleur extrême de la mère ; cauchemars marquants de l'enfant ; cris et pleurs : le mari de Lalla aicha vient de prendre une seconde épouse (la fille d'Abderahman le coiffeur) ; le narrateur tombe vraiment malade.

Lieux :

La chambre, le petit sanctuaire, le Souk des bijoux, le Souk des fruits secs, la maison.

Personnages :

La mère du narrateur, le narrateur, le fqih, le père du narrateur, Fatma Bziouya, Dellal, lalla Aicha.

résumé chaiptre IX
Chapitre IX



Résumé :

Le narrateur se revivifie le soir du jour suivant ; mais il a encore mal. Les parents en sont affligé. Après un dîner triste, le mari informe sa femme qu'il est ruiné .Il fait part de son intention de travailler comme ouvrier moissonneur dans les environ de la ville.

Le matin,le père part. l'enfant éprouve le vide autour de lui, même s'il se sent mieux. Fatma Bziouya lui apporte un boisson à la menthe sauvage, qu'il boit de mauvais gré. Après le déjeuner, la mère sort pour aller rendre visite à son amie Lalla Aicha ; le narrateur reste dans son lit. Pour tromper l'ennui causé par l'affreuse attente du retour de sa mère, le garçon vide sa Boite à Merveilles; mais les objets qu'elle contient lui inspirent le chagrin. Le soir, bercé par les bruits de l'orage le son d'une flûte mystérieuse, il dort avec peine.

La mère le réveille et lui promet une omelette qu'il aime beaucoup. Elle l'emmène avec elle au sanctuaire Sidi Ahmed Tijani pour se recueillir. Après, ils se dirigent vers la maison de Lalla Aicha. Les deux ont l'intention d'aller consulter Sidi el Arafi, un voyant aveugle, pour qu'il leur donne conseil à propos des malheurs qui les frappent.



Événement :

Le narrateur souffrit de la fievre et sa mère resta aux petits soins pour lui. Une fois rebtré, le père du narrateur annonça à sa femme qu'il a perdu son capital dans la cohue des enchères aux haiks. Il a pris aussi la décision de vendre les bracelets et d'aller travailler comme moissonneur aux environ de Fès. Le surlendemain, le père partit en laissant à sa femme l'argentdes bracelets. Pour accelerer la guerison de sidi Mohamed, Fatma lui apporta un Tadeffi qu'il se fit prier pour avaler. Sur les conseils de lalla Aicha, la mère du narrateur partit en compagnie visiter El Arafi qui habitait quartier Seffah et avait une bonne réputation.

Informations :

Le père a perdu son maigre capital, sa résolution de partir travailler comme moissonneur.

Départ du père

Ce qu'il en résulte : détérioration, solitude, vie double de l'enfant.

Visite chez Lalla Aicha.

Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

La boite : « un cercueil où gisait... »

Lieux :

Mausolée Ahmed Tijani _ ruelle. Chez lalla Aicha.

Tableaux et de--SS--ions :

le narrateur-personnage alité.

Altercation de la mère avec un marchand de tomates

De--SS--ion de la misère des lieux.

Personnages :
le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, Rahma , Fatma , El Araf

Chapitre X



Personnages secondaires :



El Arafi : un voyant aveugle recommandé à Lalla Aicha par Khadouj Lalaouia qui affirme que tout ce qu'il a prédit s'est réalisé point par point.



Résumé :



Un garçon conduit les deux femmes et le narrateur dans un dédale sordide et sombre. Arrivés dans la chambre du voyant, la narrateur se met à épier l'homme et le lieu. Le panier du voyant rappelle à l'enfant sa Boite à Merveilles. L'homme demande à l'enfant de plonger sa main dans le panier et de saisir un objet sans le voir. Ce dernier obtempère et prend une boule de verre. Après un court rituel, le voyant conseille au narrateur de revenir toujours vers soi lorsque la solitude et le malheur l'assiègent.

A son tour, Lalla aicha plonge la main dans le panier et en tire un coquillage. L'homme la réconforte en disant que le beau temps succède toujours à la pluie. La mère sort du panier une perle noire à dessins multicolores. Et le voyant de lui conseiller de visiter les sanctuaires de la ville qui lui accorderont leur protection.

Après avoir glissé des pièces de monnaie dans la main du voyant, les deux femmes s'en vont. Le narrateur rayonne de joie. Soudain, il s'agrippe au haïk de sa mère, de crainte d'être vu par le fqih qui est passé dans la rue.

Chemin faisant, la mère refuse de lui acheter une grenade qui n'est pas encore mûre ; aussi se met-il à pleurnicher. Lorsqu'ils reviennent à la maison, la mère cache aux voisines sa démarche auprès du voyant, de peur d'éventer les secrets de la famille.

Pendant l'absence du père, le garçon n'ira pas au Msid, il tiendra compagnie à sa mère. Chaque semaine, la mère l'emmène prier dans un sanctuaire. Un matin, quelqu'un frappe à la porte ; il vient de la part du père absent. Il remet à la mère un pot de beurre, une douzaine d'œufs, une bouteille de l'huile et d'argent avant de s'en aller. Le narrateur et sa mère en sont très enchantés. La femme fait don d'une part des œufs aux voisines. Arrive Lalla aicha qui partage avec la famille sa joie et les six œufs restants.



Événement :

Lalla Aicha, Lalla Zoubida et sidi Mohamed n'eurent aucun mal à trouver la maison de El Arafi, connu et respecté par ses voisins. Une fois chez lui, el Arafi, s'aida de son panier pour « sentir avec cœur les peines de ses visiteurs ». Après avoir écouté les prédictions voilées de El Arafi, le narrateur favorablement impressionné lu baisa la main alors que sa mère et son amie lui glissèrent à tour de rôle une pièce d'argent dans la main. Rentrée chez elle, la mère tut inhabituellement sa visite chez le voyant et prétendit être allée en pèlerinage aux sanctuaires de la ville. Le lendemain, elle annonça à son fils son intention de le garder à la maison et de l'emmener chaque semaine prier sous la coupole d'un saint. Un matin, elle reçut la visite d'un envoyé de son mari qui lui apportait une douzaine d'œufs, du beurre, de l'huile et de l'argent. Lalla Aicha arriva lors à l'improviste et pria son amie de lui rendre visite le lendemain parce qu'elle avait des choses à lui dire.

Informations

Le narrateur, sa mère et Lalla Aicha se rendent chez le fqih El Arafi.

Prémonition du fqih

La mère décide de retenir l'enfant à la maison

Visite d'un émissaire de la part du père

Visite de Lalla aicha ( réserve une surprise à son amie)

Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

Le panier du fqih rappelle au narrateur sa boite à merveilles

Lieux :

Le quartier Seffah. La maison de El Arafi, le pont de Ben Lemdoun, Ahmed Ben Yahia, Ali Diab, Ali Boughaleb, Ali m'zali

Tableaux et de--SS--ions :

chemin puis endroit où habite le voyant El Arafi (le fqih)

portrait du voyant.

Personnages :
El Arafi, le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, le messager du père,la femme du voyant, la chouafa, Rahma, Fatma,



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résumé chaiptre XI Chapitre XI


Temps :

Le lendemain



Résumé :

Le jour suivant, la mère et le narrateur se rendent chez Lalla aicha. Ils la trouvent en train de mener une guerre acharnée contre les mouches. Parès que l'hotesse a préparé les ustensiles de thé, les deux femmes entament une longue conversation. Il ne se passe pas un long temps quand arriva Salama, une marieuse professionnelle.

La marieuse commence par demander pardon à lalla aicha pour avoir arrangé le mariage de si Larbi avec la fille du coiffeur. Puis elle annonce le divorce imminent de ce dernier couple. Elle raconte comment l'homme l'a abodée dans un souk et lui a demandé de lui trouver une autre épouse. Au milieu du récit, le garçon descend au rez-de-chaussée afin de se soulager. Une voisine le remontre parce qu'il n'a pas fermé la porte des toilettes ; et l'enfant s'éclate en sanglots. Une dispute est sur le point de survenir sous l'intervention de Salama qui calme les femmes.

La marieuse continue son récit, expliquant que les fantaisies de la jalousie de la fille du coiffeur, gâtée par sa mère. Le récit est interrompu par l'arrivée de Zhor, une voisine qui vient demander de la menthe ; elle reste pour siroter un verre de thé. La nouvelle arrivante confirme que le divorce en question ne tardera pas à avoir lieu à cause des folies de l'épouse. Après les quatre femmes partent en diatribes contre la famille du coiffeur.

Événement :

Arrivés chez Lalla Aicha, la mère et son fils la trouvèrent en train de chasser les mouches. Quand enfin les deux femmes commencèrent à conserver, elles reçurent la visite de Salama, qui raconta le rôle qu'elle a eu le remariage de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur et les déboires conjugales du nouveau couple. Sur ces entrefaites, Zhor s'annonça pour emprunter un brin de menthe et confirma par son récit les malheurs de Moulay Larbi avec sa jeune femme. Après l'écoute du récit de Salama et de Zhor, toutes les femmes se lancèrent dans une diatribe contre le coiffeur et sa famille. Passionné par cette conversation, le narrateur renversa son verre de thé ce qui mit brusquement fin à l'ivresse verbale des femmes

Informations :

Evolution de la relation de Moulay Larbi avec sa nouvelle épouse.

Récits enchâssés

Salama raconte les circonstances du mariage de Moulay Larbi, les agissements bizarres de sa jeune épouse et son regard tardif.

A son arrivée, Zhor reprend le récit et apporte des éléments nouveaux (Hystérie de la jeune épouse et imminence du divorce)

Lieux :

La maison de Lalla Aicha, le quartier El Adoua.

Personnages :
le narrateur, sa mère, Lalla Aicha, Zhor, Salama, Moulay Larbi, la fille du coiffeur et sa famille.



résumé chaiptre XII
Chapitre XII
Personnage secondaire :

Allal el Yacoubi : envoyé par le fqih pour s'enquérir de la santé de Sidi Mohamed.

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Résumé :

Le narrateur admire les couplets entonnés par les femmes habitant dans la maison ; aussi rêve-t-il de composer une chanson. Il choisit le nom Zhor pour le mettre dans sa chanson. Cette femme hante les souvenirs du narrateur.

Au milieu des chants, un garçon arrive. Le narrateur en éprouve une grande appréhension. Il s'agit de Allal El Yacoubi, son condisciple au msid. Il est envoyé par le fqih afin qu'il s'enquiert de l'état de santé du narrateur. La mère lui dit que l'enfant ne peut aller présentement à l'école coranique.

Ce qui comble le garçon c'est la nouvelle annoncée par Zineb : le retour du Maalem Abdeslam. Le père rapporte avec lui deux poulets, des œufs, un pot de beurre, une bouteille de l'huile, un paquet d'olives et un morceau de galette paysanne en grosse semoule. Driss El aouad monte saluer le père. Il l'informe que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé hier. Au cours de la longue conversation entre les deux hommes, le narrateur prend sa boite à Merveille et se met à rêver.

Événement :

Un matin où flottait dans la maison un air nouveau et où tout le monde chantonnait, Allal El Yacoubi vint s'enquérir de la santé de Mohamed. Rassuré, il s'en alla informer le fqih. C'est alors que Zineb vint annoncer le retour de Maalem Abdesslam qu'elle venait d'apercevoir près de la mosquée de bigardier. En effet, un peu plus tard, le père du narrateur rentra chez lui chargé de deux poulets et de diverse provisions. Alors que lalla Zoubida rangeait ses richesses, sidi Mohamed raconta à son père les événements passés pendant son absence. Priant son ami Driss de monter chez lui, Maalem Abdeslem bénit cette separition et Sidi Mohamed bercé par la conversation des deux hommes, sortit sa boite à merveilles et se laissa emporter par le sommeil.

Informations :

- Driss el Aouad annonce au père que My Larbi a répudié sa femme.

Symbolisme de la boite à merveilles / Le merveilleux :

Se sentant négligé et fatigué, l'enfant se retourne vers ses amis. Il ouvre sa boite à merveilles.

Lieux :

Dar Chouaffa, la mosquée de bigardier

Personnages :
La chouaffa, les femmes de dar Chouffa, le narrateur, Allal El Yacoubi, Zineb, Maalem Abdeslem, Driss EL Aouad
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